C’est une affection neurodégénérative qui touche le système nerveux central. Actuellement, aucun médicament n’est capable d’apporter la guérison. Mais on se rend compte qu’une certaine hygiène de vie ainsi que le recours à des substances naturelles permettent de ralentir son évolution. Avec 100 000 malades en France et 8 000 nouveaux cas chaque année, la maladie de Parkinson (...)

Dans notre culture occidentale, le symptôme d’une maladie est toujours présenté comme un événement nuisible, un accroc inesthétique dans notre vie idéale qu’il convient de rapiécer d’urgence. Jamais un médecin ne vous dira que le symptôme est peut-être le meilleur moyen qu’a trouvé l’organisme pour rétablir son intégrité, il préférera le faire disparaître et vous (...)

Il est question de plus de 500 morts, de 1 750 interventions chirurgicales, de 3 500 hospitalisations… C’est un énorme scandale de santé publique mais, curieusement, l’affaire du Médiator ne fait pas vraiment scandale. Au fil des jours, la liste des effets secondaires graves de cet antidiabétique s’allonge, tandis que l’on découvre au grand jour le laxisme des autorités sanitaires (...)

Un rapport bénéfice-risque favorable, voilà des mots qui sonnent bien. Cela rassure. Car un médicament qui passe ce crible semble dédouané d’effets nocifs : soyez-en certain, il vous fera beaucoup plus de bien que de mal, et s’il venait à vous provoquer quelques effets indésirables, on le retirera du marché. Vous êtes rassuré ? Moi pas !

Les médecins généralistes sont de moins en moins nombreux. Mais avec plus de 12 % de médecins déprimés (pour ne pas dire dépressifs), jusqu’à 17 % dans certaines régions, il y a de quoi s’inquiéter de l’état de notre médecine de ville. On peut aussi se poser des questions sur la qualité des soins qu’ils sont capables de prodiguer dans cet état.