Selon le reportage diffusé jeudi 16 février par le magazine Envoyé spécial, 32 % des abattoirs français, dont 100 % des abattoirs d’Île-de-France, pratiquent l’égorgement halal sans étourdissement pour des raisons simplement économiques. Outre la souffrance infligée aux animaux (14 minutes peuvent s’écouler avant que l’animal ne perde connaissance), il existe un risque sanitaire de contamination de la viande par régurgitation des bactéries contenues dans l’estomac. Or le consommateur n’a aucun moyen à sa disposition pour savoir si l’animal a été abattu de façon halal ou non puisqu’il n’y a pas d’obligation d’étiquetage.
C’est à vomir de consternation !
En 2012, comment peut-on accepter que ces pratiques barbares et ce retour en arrière s’installent chez nous ?
Honte à ceux qui restent indifférents devant une vache pendue par une patte, pendant dix longues minutes, dans les convulsions de l’agonie. Honte à tous les politiciens qui, pour des raisons bassement électoralistes, favorisent des rituels prétendument religieux au prétexte que c’est Dieu qui exige cette cruauté. Honte aux services administratifs qui, pour des raisons probablement inavouables, obligent tout le monde à se nourrir de cette infamie. Honte à tous les dormeurs carnivores qui préfèrent ne rien savoir plutôt que ne pas satisfaire leur coupable gourmandise. Honte à la France tout court qui tolère une torture animale interdite par la loi ! Qui est prêt à faire la grève de la viande jusqu’à ce que la loi soit appliquée et un étiquetage obligatoire ? Mais en 2012, avec la montée vibratoire, le niveau de la conscience supérieure des carnivores se détériore…
La flambée des cancers, des dépressions, des maladies dégénératives, neurologiques, psychiatriques, cardiovasculaires, est le résultat du décalage entre nos actions et le tribunal de notre conscience. Quand on accepte de nourrir son corps de lambeaux d’animaux martyrisés, il n’y a que du mal à prendre… sauf si l’on fait partie des êtres sans cœur !
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