L’histoire de la grippe porcine serait-elle une campagne médiatique élaborée pour vendre plus de vaccins ? Ceux qui développent cette hypothèse sont aujourd’hui considérés comme de purs paranoïaques victimes de la théorie du complot, mais de nombreux indices semblent leur donner raison. Nous sommes en effet devant une réaction en chaîne qui paraît bien orchestrée : on a d’abord joué sur la peur en comparant cela à la grippe espagnole, ensuite on nous a annoncé des millions de morts. Puis on nous a dit : heureusement, le vaccin nous sauvera de la catastrophe. Un argumentaire cousu de fil blanc.
Manque de chance pour ceux qui veulent vacciner à tour de bras, la réalité ne cesse de contredire le scénario officiel. On observe d’abord que la plupart des patients contaminés se rétablissent plus rapidement que ceux qui contractent une grippe banale, et souvent sans aucun traitement. On sait aussi que le virus s’est déjà largement propagé. Pourquoi, alors, vacciner des personnes qui risquent d’avoir déjà contracté le virus et sont donc déjà immunisées ? Réponse : parce que si l’on ne le fait pas, nous aurons des millions de vaccins – déjà achetés – sur les bras…
Nous vivons la pandémie la plus bénigne que l’on ait connue, voilà qui est gênant pour les promoteurs du vaccin. Alors on nous dit que le virus risque de muter ! C’est exact, mais du coup, même si l’on produit un vaccin contenant un, voire deux ou, pourquoi pas, trois virus, il n’y aurait aucune certitude absolue d’être protégé par la vaccination. D’autant plus que les études sur l’efficacité vaccinale sont biaisées car on ne peut savoir si les cohortes d’individus étudiés n’ont pas été contaminées, sans le savoir, par la grippe elle-même plutôt que par le vaccin. Qui plus est, une enquête de l’INSERM a montré que la vaccination fait perdre l’immunité acquise au profit du virus injecté. Alors que toute personne contaminée par la grippe est immunisée pour environ dix ans, le fait de la vacciner réduira son immunité acquise à une ou deux années seulement. Eh bien ! Comme cela, on pourra vacciner tous les ans !
Or il existe un autre procédé – trop vite abandonné – qui consiste à immuniser par un virus atténué via un spray nasal. C’est bien moins onéreux, cela ne nécessite pas l’adjonction de produits injectables dont l’innocuité est aujourd’hui mise en cause. La protection n’est que nasale, bien sûr, mais ce vaccin a le mérite de produire un barrage naturel d’anticorps dans les muqueuses au niveau des voies aériennes supérieures. Il vous protège six mois. Autre solution : l’inhalation de plantes bloquant les virus grippaux ! Ce procédé fit la renommée du phytothérapeute suisse Johann Künzle car aucun de ses patients soignés par les plantes ne mourut de la grippe espagnole. Mais cela, a priori, n’intéresse personne !
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