Sclérose en plaques prévenir et combattre la maladie… autrement

Aujourd’hui, en milieu hospitalier, seuls les anti-inflammatoires et les immuno-suppresseurs sont proposés comme traitement à long terme, alors que cette stratégie peut tout juste être nécessaire sur 1 à 2 semaines, en cas de poussée aiguë. Les médecines naturelles proposent une vraie stratégie thérapeutique biologique, plus complète et axée sur le long terme.


Depuis que le lien entre vaccin Hépatite B et sclérose en plaques a été démontré par une première étude scientifique, chacun des 20 millions de Français qui ont été vaccinés est en droit de savoir à quels risques il s’expose. Quelle est cette maladie ? Comment prévenir son apparition ? Que faire lorsque l’on est atteint ? Les médecines naturelles proposent une stratégie thérapeutique biologique très complète…

LSEP (sclérose en plaques) est une maladie dégénérative du système nerveux central et des racines des nerfs crâniens, qui se traduit – près du réseau veineux du système nerveux central – par une démyélinisation des nerfs. Les causes de cette maladie auto-immune sont multiples (susceptibilité génétique, alimentation, infection virale, protéine vaccinale déclenchante…) : elles se conjuguent pour détruire progressivement les cellules qui fabriquent la myéline, les oligodendrocytes.

Aujourd’hui, en milieu hospitalier, seuls les anti-inflammatoires et les immuno-suppresseurs sont proposés comme traitement à long terme, alors que cette stratégie peut tout juste être nécessaire sur 1 à 2 semaines, en cas de poussée aiguë.
Les médecines naturelles proposent une vraie stratégie thérapeutique biologique, plus complète et axée sur le long terme.

Un tube digestif intègre

Tous les médecins pratiquant une médecine biologique savent que le tube digestif des malades SEP est le plus souvent en état d’inflammation chronique et hyper-perméable. Il laisse alors passer des protéines et des molécules toxiques, que normalement il devrait retenir et/ou éliminer. Afin de faire cesser cet état :

  • Choisir les aliments en fonction des intolérances individuelles. Le Dr Seignalet, dans « L’alimentation ou la 3ème médecine » (éd. F.-X. de Guibert), conseille d’écarter les laitages ainsi que les céréales à gluten et de manger cru ou cuit à la vapeur.

Pour un diagnostic très précis des intolérances alimentaires de chacun, il existe aujourd’hui des tests parfaitement individualisés (R-Biopharm France, tél. 04 78 48 01 95).

  • Apporter de grandes quantités de bactéries probiotiques (5 à10 milliards par jour), qui sont les co-facteurs indispensables d’une digestion complète. Prendre 1 sachet de 2,5 g par jour pendant 6 mois de Lactibiane tolérance du laboratoire Pileje (à St Laurent des Autels (49), tél. 02 40 83 93 93).
  • Apporter des acides gras – oméga 3 et 6 contenus dans l’huile de capelan/bourrache (laboratoire Pileje) : 3 capsules par jour – et de la L-glutamine – Perméaline (laboratoire Pileje) : 1 sachet par jour – pour protéger les muqueuses intestinales. Un bilan des acides gras saturés et insaturés permet de déterminer les carences de chacun.

Récupérer une respiration tissulaire normale

Il s’agit de diminuer l’oxydation du sang, donc des tissus, en apportant au corps des électrons et des transporteurs d’électrons, qui permettent aux tissus d’utiliser leur chaîne respiratoire (circuit le plus rentable) pour fabriquer de l’énergie et plus tard, de pouvoir se reconstruire.

  • Le geste le plus urgent est l’apport des anti-oxydants de base efficaces : vitamine A, E et C naturelles, vitamine B3, coenzyme Q10, manganèse, magnésium, zinc et sélénium… De nombreux produits sont disponibles sur le marché. L’acide R-lipoïque et la L-carnitine (en pharmacie) permettent une vraie protection des mitochondries du système nerveux central.
  • Il faut conseiller aussi de manger « réduit », c’est-à-dire non oxydé, donc pas trop cuit, ni rôti, ni irradié ou en conserve, et plutôt frais ou cuit à la vapeur (max. 110°C).
  • Il faut respirer « réduit », c’est-à-dire inhaler un oxygène ionisé négativement (montagne et bord de mer) ou bien dépollué grâce à un ioniseur.

Restaurer une circulation électrique harmonieuse dans le corps

Le système nerveux fonctionne en déplaçant des charges électriques le long des membranes cellulaires, lesquelles sont canalisées et gainées par la myéline.
Si le corps est conducteur dans son ensemble, des différences de potentiel entre la tête et les membres, les tissus profonds et le système nerveux très superficiel, autorisent une véritable circulation des charges.

- Le port de vêtements synthétiques, de semelles isolantes (caoutchouc, plastique) empêchent la remise à la terre permanente du corps (réduction/négativation) : il vaut donc mieux pour les malades porter des vêtements en fibres naturelles (coton, laine, soie) et des semelles de cuir, et essayer de marcher aussi souvent que possible pieds nus…

- Il importe aussi de vérifier si les nerfs crâniens ne sont pas en permanence dépolarisés par des alliages toxiques (nickel, mercure) portés en bouche pendant des années, et qui constituent de véritables piles perturbatrices, très près du système nerveux central, en ligne directe avec les racines des nerfs crâniens !

Dans ce cas, il est conseillé de faire déposer les amalgames dentaires et de les remplacer par des ciments non métalliques : la manœuvre doit être progressive, en déposant d’abord tous les amalgames d’un côté de la bouche, puis après cicatrisation, tous ceux de l’autre côté, afin d’éviter toutes les intolérances éventuelles à ces métaux lourds.

- Les massages et les mobilisations du kinésithérapeute rétablissent aussi le courant circulatoire sanguin, lymphatique et électrique.

- Une technique d’électrothérapie, simple et éprouvée, qui semble très efficace en cas de SEP est l’ionocinèse du Dr Janet (Bionat à Bordeaux (33), Tél. 05 56 96 18 73 – fermé le lundi ). Elle ré-induit une conduction électrique normale dans les tissus, surtout après recharge du corps en silicium organique (chez La Vie Naturelle)

- Les champs électromagnétiques pulsés permettent aussi une amélioration remarquable, et à ce jour sans équivalent, de la symptomatologie de la SEP (thèse du Dr A. Poirier, Rennes, 99) : pulseur Bio-best de la société Ecosystem (28) Tél. 02 37 32 10 93.

- Notons qu’une équipe chirurgicale de Madrid (www.free-news.org) opère les patients SEP et atteints de Parkinson, en libérant le flux de l’artère cérébrale vers le cerveau. Plus de vingt-cinq ans de recul et 1 600 opérations ont montré la valeur de cette approche ! Cela signifie que nombre de cas de dégénérescence du cerveau, sont en grande partie dus à une asphyxie très localisée, qu’il s’agit de résoudre non seulement par la bio-chimie et la bio-physique, mais aussi le cas échéant, par la bio-mécanique (chirurgie, ostéopathie, manipulations libérant la tête et le cou)…

Lutter contre les poussées inflammatoires sans effets secondaires

- L’enzymothérapie allemande, inventée par le Pr Wolf après la deuxième guerre mondiale, est utilisée avec succès depuis plus de 35 ans dans les poussées inflammatoires des maladies auto-immunes, dont la SEP. Cette thérapie est une véritable institution en Allemagne, mais reste largement méconnue en France. Pourtant, toutes les études cliniques ont montré que les enzymes de type Wobenzym ou Phlogenzym sont supérieurs aux médicaments anti-inflammatoires stéroïdiens ou non stéroïdiens dans tous les domaines, et sont de plus dénués de tout effet secondaire à long terme !
Une cure de Phlogenzym (6 comprimés par jour) permet d’espacer, voire de supprimer les poussées de SEP, en modulant l’immunité par lyse des complexes immuns circulants et contrôle des interleukines pro-inflammatoires. Disponible auprès de le société Mucospharma (Fax : 00 49 8171 520 08 ou www.mucos.de).

- Les plantes du Dr Tubery (DPG et Sénégénate de magnésium) permettent aussi un contrôle des poussées invalidantes dans ce syndrome et autorisent un traitement à long terme sans danger.

- Pour contrer l’inflammation chronique et l’ensemble des cytokines délétères qui l’accompagnent, un produit original à base d’algue Porphyra permet aux cellules de fabriquer au mieux les protéines réparatrices des lésions. Prendre Proteochoc du laboratoire Pileje :
2 capsules par jour pendant 6 jours par mois.

Reconstruire le tissu nerveux perdu

Si les lésions ne sont pas encore trop étendues, ni trop nombreuses, il existe des stratégies de stimulation des réparations tissulaires, qui seront efficaces, surtout après avoir apporté au corps des anti-oxydants et des acides gras, et après avoir empêché certains peptides alimentaires d’envahir le tissu nerveux :

- L’utilisation d’auto-antigènes ciblés permet une désensibilisation de l’organisme à des peptides modifiés qui déclenchent anormalement des réactions immunes contre le soi biologique. Des informations sur cette recherche peuvent être obtenues en s’adressant à l’association IDRPHT (200 av. de Thouars, 33400 Talence). Voir aussi le livre « Une nouvelle approche biomédicale des maladies chroniques, l’endothérapie multivalente » des docteurs Michel Geffard et Patrick Theillier aux Éd. F.-X. de Guibert. Les malades peuvent s’adresser à l’association « Soutien Energie Parole face à la sclérose en plaques » (tél. 05 49 51 52 88 entre 18h et 21h) à Cissé pour obtenir les renseignements souhaités.

- Le Real Build, un ARN-fragment issu de la recherche du Pr Beljanski (Natural Source (USA), Tél. 00 1 212 308 70 66, après 16h ou www.beljanski.com), stimule spécifiquement les cellules souches de la moelle osseuse, celles qui sont les plus totipotentes dans le corps, capables de « fabriquer » après ré-orientation, du tissu nerveux, du tissu cardiaque ou du tissu hépatique…
Ces ARN-fragments ont également la propriété de réparer les ADN dans leur structure primaire. De nombreux thérapeutes les utilisent d’ailleurs pour « effacer » les effets secondaires des vaccins. Il suffit de prendre 3 doses à 3 jours d’intervalle et d’enchaîner avec 7 autres doses espacées de 8 à 10 jours entre-elles pour compenser la plupart du temps l’action délétère des peptides vaccinaux.

Les cellules souches : l’avenir ?

À côté des diverses voies décrites ci-dessus, le traitement moderne de la SEP passera bientôt par l’utilisation de la thérapie cellulaire, c’est-à-dire par l’utilisation des cellules souches du malade lui-même, prélevées dans sa moelle osseuse, multipliées en éprouvette, puis réinjectées au patient afin d’accélérer l’auto-réparation des lésions du système nerveux : on vient de guérir ainsi (San Raffaele Hospital à Milan-I en Mars 2003) des souris atteintes d’un modèle expérimental de SEP, qui ont récupéré même des formes paralytiques de la maladie. L’homme devrait bénéficier de ces techniques très prometteuses d’ici quelques mois…

La conception de la maladie et du traitement qui prévaut est incomplète, inadaptée à la réalité du terrain où le malade accumule au cours de sa vie, un certain nombre d’erreurs et d’impasses physiologiques et/ou psychologiques. Un bon médecin devrait savoir lire ces messages et aider son patient à les résoudre, à les compenser et à les dépasser.

 

A écouter sur Radio Médecine Douce :

 

 

 


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