Le danger des hormones de synthèse

La pilule et le traitement substitutif hormonal font subir une sorte de court-circuit au fonctionnement naturel du système glandulaire. Le métabolisme accuse alors des modifications importantes et sans doute irréversibles.

Des études effectuées en Grande-Bretagne et aux États-Unis ont montré que l’utilisation de contraceptifs oraux accroissait les risques de thrombose, que des doses élevées d’œstrogènes ont accru la fréquence de certains cancers sur des animaux… Qu’en est-il pour la femme ? Silence.

Lit-on suffisamment les contre-indications pour les femmes ayant eu des antécédents de thrombophlébite, de manifestation thromboemboliques, d’apoplexie, de désordres biliaires, de cancer du sein et autres cancers hormonodépendants ?

S’interroge-t-on sur le fait qu’il est aussi déconseillé aux mères allaitant leur nouveau-né de prendre la pilule ?
La pilule peut causer de la rétention d’eau, qu’elle est déconseillée aux femmes souffrant d’épilepsie, de migraine, d’asthme, de troubles biliaires ou cardiaques…

Il est aussi possible que la pilule soit incriminée dans les problèmes d’arrêt permanent de l’ovulation, de syndrome prémenstruel chronique, de changement dans la libido, de troubles rénaux, de maux de tête, de pertes des cheveux, d’étourdissements, de fatigue, de rougeurs de la peau, d’hémorragies sous-cutanées… Le risque de fausse couche est aussi accru chez les femmes ayant pris la pilule.

Et que dire des carences en vitamines et sels minéraux que ces hormones de synthèse accentuent ou créent !

 

 

 

 

 


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